Alors que des détonations de grenades se font entendre cet après-midi à Musaga, quartier sud de Bujumbura, et la Radio Publique Africaine, les médias ne sont plus autorisés de faire vivre au monde les manifestations en cours à Bujumbura. C’est la confusion totale! Au moment où on redoute des violences, c’est la consternation totale des journalistes burundais qui assistent impuissamment aux séquestrations des manifestants sans informer au monde.