Bujumbura: Une marche à Bujumbura contre la nouvelle résolution de l’ONU

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    Cette marche manifestation a vu comme composante , la majorité de conducteurs de vélo et tricycles et la société civile comme la ligue izere et pisc-Burundi avec des pancartes, le message essentiel qui se lisait sur leurs lèvres à travers les chansons était ” la France ne peut pas installer un président au Burundi”. Très tôt, ces conducteurs de vélo souvent refusés de franchir le centre ville de la capitale dans leurs activités quotidiennes, aujourd’hui, ils ont d’abord sillonné la place à l’occasion de l’ouverture de cette marche pour contester le mesure prise par les nations unies de déployer une équipe de 228 policiers au Burundi, comme le stipule la résolution 2303 des nations Unies.

    Le maire de la ville Freddy, dans son mot de circonstance trouve que cette résolution a été adoptée pour faire réagir les burundais. La France ne devrait pas formuler une telle recommandation pour le Burundi, un pays sécurisé avec des forces de sécurité qui sont en somalie, au centre Afrique et ailleurs pour le maintien de la paix. Vu la fréquence des attentats suicide en France, ce pays devrait plutôt formuler une requête au Burundi pour le renforcement de la sécurité, a-t-i ajouté le maire de la ville.

    Deo Ruberintwari, secrétaire permanent au Ministère de l’intérieur qui a lu le message du gouvernement du Burundi, ladite résolution des nations unies est une mauvaise décision ,une attitude d’humiliation comme celle que les français ont adopté au rwanda en 1994. Il dénonce également le Humain Right Watch pour avoir porté atteinte aux forces de sécurité et Imbonerakure dans son récent rapport.

    A cette même occasion, le président rwandais Paul Kagame est encore une fois indexé d’être derrière les attaques meurtrières contre les autorités burundaises. Son pays facilite le déroulement des exercices para militaires qui n’ont d’autres visés que perturber la sécurité au Burundi, pays paisible, a dit Déo Ruberintwari, ici une minute de silence a été observée en mémoire de Hafsa Mossi, une députée de la EALA, tuée fusillée le 13 juillet 2016 à Gihosha en Mairie de Bujumbura.

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